On oublie trop souvent que les lieux de festival necessitent toute une infrastructure pour que tout se passe bien.
Que soit ici honorés les collègues médecins qui se dévouent pour soigner les nombreux anonymes qui perdent connaissance au passage de Robin des Bois ou d'Andy Warrhol, de ceux qui ont une extension de voix en criant "Angelina! Angelina!", de ceux qui tombent de leur chaise avec leur camera numerique, de celles dont la poitrine siliconée explose en plein vol, de ceux qui sombrent dans un coma induit par un noeud pap trop serré et tant d'autres qui tombent au champs d'honneur de la montée des marches.
Quelle vie!
Relisez ce qu'écrivait le regretté Pierre Desproges sur Cannes...